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J'habite dans le territoire des royaliste au nord est de l'ile mais mon père se defend les caspeliste.Il part donc à la guerre pour défendre son peuple Empire .Je me retrouve seule,dans un royaume que je déteste,avec ma bien aimer religieuse,celle qui conte le plus au monde pour moi et qui me donne tout se don j'ais besoin.Malhereusement 2ans plus tard elle meure d'une maladie inconnue.je me retrouve tout seule perdue dans l'ombre,Je n'aurais plus la sensation de touchait le grin de sa fine peau douce et les carreses journaliers qui me réchaufer le coeur quand il se glacer.
Un oncle qui n'était pas partie a la guerre a cause de sa jambe, alors qu'il était aussi pour les caspeliste, me pris sous ses ailes pendant 2ans,j'avais donc 15 ans,j'avais repris du gout a la vie mais une chose me manquais.Cette chose s'était l'envie d'aller plus haut d'en la vie et de ne pas restait dans cette villa même si je m'y plaisais bien.
À l'age de 17ans,alors que les combat faisait rage où mon père était sens doute mort,je suis partie en formation dans une écurie du royaume et tout de suite les chevalier m'avait repérer par ma justesse dans le geste et ma précision aux entrainments.Aussi,mon physique,je n'étais jamais fatiqués,toujours partant et toujours de bonne humeur.Pendant 1ans,ils m'apprirent l'art de la lance et de l'épée,je faisais des concours,des courses et je recevais des petits prix mais qui contaient enormement pour un jeune homme.
Un jours,un chevalier m'a parlé alors que je ne le voyais qu'aux entrainements m'observer discrétement.Il m'a dit:
-a tu de la famille?
Je répondis les yeux fixés vers le sol:
-non,juste un oncle
-Si tu veux après,tu peux venir manger dans ma villa un centre de la ville fortifier et je pourrais t'apprendre des astuces car je fais aussi se loisir.
Il réfléchit et il fixa un rendevous pour le soir même un peu avant le couchant.
Le soir même,j'attendit sous l'orme et je pensa qu'il dut partir quand il ne me vus pas venir.
Le matin suivant, toujours présent a l'écurie, je m'entrainais à monter à cheval.Lui aussi,il était la et spontanement,je suis venu le voir pour m'excuser,il m'a dit directement:
-je comprend très bien.
J'étais rassuré.
Cette fois si,je lui proposa un redevous à l'écurie quand le soleil sera le plus au dans le ciel.
A leur du rendevous,je l'attendais et il arriva.
je discuta longement en marchant dans la direction de sa ville et il me montra à la fin d'un bon repas et d'une bonne marche en revenant a l'écurie son destrier qui était barder de fer à sa poitrine et avec une selle profonde.Je sentais le cheval de compétition,près a tout donner pour son dresseur.Les larmes aux yeux,je le toucha et là mon coeur battait, plus fort que la fois où mon père partie à la guerre se qui n'était pas normal.
Cette homme était courtois et trés aimables. Il avait une posture droit et tendu.
Au bout de quelque mois,je monter même sur son cheval blanc lumineux et il y avait même des jours où je couchais chez lui.
A l'age de 19 ans,j'étaid très connue dans l'écurie,j'entrainais les petit et j'aprennais de nouvelles choses à la fois.C'était mes meilleurs années .
Le 29 avril 481,j'avais 21ans,j'étais un homme dur et bien forgé,plus dur que la pierre.Un tournois se présenta a moi.Je n'avais ni de joute,ni de cheval, ni de haume, ni de haubert et ni de chaufrein,juste une épée et le moral à son plein.
cette homme dont je parlais qui se nommait Conte de Ridalgo,(Caspelistes qui se faisait discret),enfin,c'était comme sa que je l'appellais,m'a fournis tout le necessère et plus encore.Il me disa que si je gagnais,je devrais lui passer 1/3 de la sommes obtenue se qui ne pouvais que m'avantager.
le public était donc réunit et même des têtes connues.
Aprés plusieurs blessures et plusieurs jours de tournois,je finis premier en étant externuer et sanglant mais en même temps exiter de cette "victoire" que j'attendais depuis bien des années.Comme promis,je lui donna sa part de bénéfice,tout le monde étaient heureux et ma popularité se manifester de plus en plus,les gents me regarder avec un beaux sourirs plein de jalousis.
A mes 30 ans,j'étais enomrement connue au sin de la communauter,j'étais "riche",mais je n'avais pas de famille.
Un beaux jours,une belle brune,grande vétue d'une robe en dantèle traversait l'écurie et passa juste derriere un cheval sans y faire attention ,et se fit la catastrophe.Un coup de sabot lui cassa les jambes en deux.
Moi de mon coter,j'étais là à regarder la bouche pendante de peur.Par reflexe,je la pris,comme et elle était écroulé par terre, et elle s'évanouit de douleur dans mes bras .une foule se forma autour de moi et je compris que cette dames était hautement placer dans la monarchie.Personne ne savait quoi faire a part de l'eau pour enlever le sang qui couler en abondance, un garau pour le stoper et appeller tout les medecins du royaume.
Je passa 7 moins a m'acharner avec le soutien de sa famille de sang royale et de plusieurs medecins pour quelle puisse remarcher,preque a en oublier ma passion pour le cheval.
Comme vous l'avez compris,l'éclair tomba et l'amour avec.
Je fonda une famille de deux enfants très doués dont j'était fier et je devient Iriasni Vlokovak en rapport avec le non de cette femme.On me penser royaliste dans l'ame mais bien cacher au fond de moi et de mon coeur,j'étais, grace au conte d'idalgo,caspéllistes discret et je montais donc un coup pour renverser se régime autoritère avec les paysan de tout la région et qui allait s'étendre dans toute l'Europe!
[hrp]À compléter et à corriger.Cette histoire a était écrite par une personne de 15ans qui a 6 de moyenne en francais^^[hrp]